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Début du contenu

L'accent c'est les autres audionumérique.

L'accent c'est les autres

  • Hommage à la langue de Molière

    Boucar Diouf rend hommage à la langue française, la « langue de la liberté ». Elle lui a permis de lire l’avenir dans autre chose que les lignes de la main. Kim Thúy, auteure d’origine vietnamienne, explique que c’est la seule langue qui lui permet de réfléchir, écrire et exprimer ses émotions. Pour Joël Le Bigot, animateur à Radio-Canada, l’accent est une façon d’être, mais il peut aussi causer l’exclusion.
  • Les mots de la drague

    « Draguer », « cruiser », « aborder une fille », « chanter la pomme », « faire le coq », Boucar Diouf démontre comment la langue française emprunte au vocabulaire de la marine et à celui des oiseaux pour parler de séduction. Avec l’humoriste Nabila Ben Youssef et la chanteuse Angélique Kidjo, il s’amuse des expressions de la drague.
  • Les mots de la mer

    Nos ancêtres ont beaucoup navigué en mer, sur les rivières et sur les fleuves. Cela explique sans doute pourquoi les Québécois utilisent l’expression « embarquer » à toutes les sauces. Boucar Diouf s’entretient avec Joël Le Bigot, arrivé au Québec à bord d’un paquebot. Zachary Richard parle de ses inquiétudes pour l’avenir du français en Louisiane, où la langue de Molière s’apprend grâce au vocabulaire de la pêche.
  • Avoir le français comme deuxième langue

    Amin Maalouf a appris le français à l’école au Liban, Angélique Kidjo en famille au Bénin, Nabila Ben Youssef au contact de la société marocaine et Kim Thúy en arrivant au Québec. Tous racontent à Boucar Diouf leur premier contact avec la langue française.
  • Les mots des quatre saisons

    Au Botswana, « il fait toujours beau » signifie qu’il ne faut jamais désespérer. En France, « se prendre un vent » c’est essuyer un refus. Au Québec, « pelleter de l’air », c’est perdre son temps. Boucar Diouf s'amuse avec les différentes façons de parler du climat et des saisons dans la francophonie, en compagnie du chanteur innu Florent Vollant et de l'humoriste tunisienne Nabila Ben Youssef.
  • Les blasphèmes, les sacres et autres jurons

    Quelle expression exprime le mieux la douleur? Boucar Diouf s’intéresse aux jurons les plus colorés dans les divers pays où l’on parle français. Il en discute avec Nabila Ben Youssef, humoriste québécoise originaire de Tunisie, le pays du Maghreb où l’on sacre le plus, avec Bruno Coppens, humoriste belge, et avec Artiom Koulakov, linguiste russe spécialiste des sacres québécois.
  • Le métissage des langues et des accents

    Boucar Diouf explore les avenues que prend le métissage des langues, mais aussi des accents et des goûts. Clément Duhaime, administrateur de l'Organisation internationale de la Francophonie, affirme que les apports d'autres langues et les mots inventés gardent la langue française vivante. Les chanteurs Florent Vollant et Zachary Richard parlent de la place que tient le français dans leurs vies.
  • Rigoler en français

    L’humour peut-il être compris par tous les francophones, avec les régionalismes, les expressions et les accents de chaque pays? Dans ce dernier épisode, on entend les points de vue de Louise Richer, directrice de l'École nationale de l’humour du Québec, de Sugar Sammy, humoriste québécois d'origine indienne, et de Bruno Coppens, humoriste belge.