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Début du contenu

La soir de bonheur audionumérique.

La soif de bonheur, la série documentaire

  • Une vie qui nous ressemble

    « Le pire ennemi du bonheur, c'est le bonheur. Parce qu'il nous encadre, il nous limite », dit Pierre Coté. L'inventeur de l'indice relatif de bonheur (IRB) pense qu'il est important de s'éloigner des conditionnements sociaux. De son côté, la psychologue Anne-Marie Charest croit que moins il a de distance entre ce que l'on ressent intérieurement et notre vie extérieure, plus les chances d'être heureux sont grandes.

  • L'essence du bonheur

    Cet épisode se tourne vers la philosophie, l'art et la quête spirituelle pour comprendre ce qui contribue au bonheur. Notre condition de mortel est-elle une incitation, ou un frein au bonheur? La quête religieuse apporte-t-elle le bonheur? Brigitte Leblond raconte que sa vie a basculé lorsqu'elle a « reçu l'appel de Dieu » pour consacrer sa vie à la prière et à la contemplation.

  • L'enfer, c'est l'isolement

    « Quand on est malheureux, il n'y a qu'une façon de s'en sortir. C'est d'aller vers l'autre, sortir de soi. Chaque fois, c'est comme un miracle », dit l'écrivaine Marie Laberge. Si la vie à deux rend l'existence plus facile, le couple ne doit pas prendre toute la place. « Souvent, le problème des gens malheureux en couple c'est qu'ils attendent trop de la relation », affirme la psychologue Rose-Marie Charest.

  • Le bonheur au travail

    « Il faut trouver le moyen d'associer le mot bonheur au travail, sinon, où est le bonheur? », fait remarquer Serge Marquis, médecin spécialiste en santé au travail. Une majorité de gens se disent malheureux ou insatisfaits du travail qu'ils font et s'en rendent même malades. Pour rendre le bonheur possible en milieu de travail, une révolution s'impose. Des travailleurs et des patrons l'ont d'ailleurs compris.

  • L’espoir et la fraternité

    Dans ce dernier épisode, Mario Proulx parle des devoirs de la société en ce qui concerne le bien-être de chacun, mais aussi, et surtout, de la responsabilité de chacun à l'égard du bonheur collectif. « Il ne faut pas essayer d'être heureux soi-même, il faut participer à la recherche du bonheur collectif », précise le scientifique Albert Jacquard. Est-il encore possible de transformer la société afin de réveiller l'espoir et la fraternité?