Photo: Anne-Christine Poujoulat
(archives)
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Les participants aux Jeux olympiques de Turin sont mieux de montrer patte blanche. Il y aura 1200 contrôles antidopage, soit 500 de plus qu'à Salt Lake City en 2002.
L'Agence mondiale antidopage (AMA) enverra une équipe d'observateurs indépendants chargés de la surveillance des tests. La rigidité de la loi italienne envers le dopage sportif, qui le criminalise et le rend passible d'emprisonnement, risque de devenir « l'affaire » des Jeux.
Le code mondial antidopage a doté l'AMA d'un droit d'appel pour les décisions du Comité international olympique qui concernent les sanctions infligées aux sportifs déclarés positifs.